Arts visuels Cégep Édouard-Montpetit

J'ai cherché à représenter le lieu connu qu'est la forêt en accentuant les rôles de la couleur et de la lumière dans l'image. Sans trop m'attarder à représenter un lieu naturel réaliste, j'ai cherché à évoquer la splendeur et la chaleur des rayons de soleil qui traversent le feuillage d'une forêt.

Pour ce projet je me suis inspiré de l'espace et les planètes pour créer mon oeuvre. Deplus ce projet est basé sur une séance de modèle vivant et de dessin de création.

Il s'agit d'un montage d'oeuvres déja réalisées pour faire une nouvelle image qui a été tranférée sur une plaque de bioplastique.

Le bioplastique est translucide donc avec de la lumière qui passe au travers on voit mieux les détails de l'image.

DPPPP

Les souvenirs sont des moments importants d'une vie qui s'assemblent tel un casse-tête. Ces précieux instants nous sont volés quand on souffre de la maladie d'Alzheimer.

Les images vont être collées aux parois de la boite. L’extérieur de la boite va être fait en masonite, l’intérieur, en carton. Entre les deux matériaux, il y aura des morceaux de bois qui aideront les murs de masonites à rester en place et former les coins. La boite va être rectangulaire et déposer verticalement sur le sol, elle va également être assez grande, elle va faire cent-cinquante-quatre centimètres. Une des quatre parois en longueur va être absente pour permettre aux gens de voir à l’intérieur. Pour ajouter à l’effet d’inconfort, il y aura une lampe au-dessus de la sculpture. Même s’ils ne la ressentiront pas, je veux donner un exemple de la paranoïa aux étudiants.

Visage fait avec mes mains couvertes de charbon.

Un visage fait en dessinant sur des morceaux de papier déjà déchirés, puis épinglés ensembles, d'où les légères déformations.

Pour ce dernier projet, j'ai, encore une fois, relevé un nouveau défi. J'ai toujours été fascinée par les cultures du monde et je voulais réfléter l'amour de l'Afrique qui court dans ma famille. Mon dernier gros défi de la session était de peindre une personne noire. C'est ce que j'ai fait. Dès le premier regard, j'ai adoré l'image en question et les couleur des bijoux. Pour créer de la dimension et jouer avec les textures, j'ai mélangé peinture et billeà pour les colliers et les accessoires.

projet final :3

Le dernier tour du grand prix de formule 1 à Singapour 2023.

Un pianiste jouant une symphonie. (8 pages)

(pour voir toutes les pages : @malik.__.art sur instagram)

Des gens, parfois de mon entourage, parfois de parfaits inconnus, qui ont bien voulu que je les dessine dans leurs quotidien.

Ma participation au défi Inktober 2023.

Manga / Bande-Dessinée en collaboration avec Érik Bergeron Tamayo sur le thème des samouraïs.

Séquence de dessins de lèvres qui prononce les mots "I miss you"

Ma pièce est constituée de quatre dessins de deux chats qui jouiessent de la compagnie de l'autre. Chaque paire se trouve dans un univers parallèlle, perçu à travers cette fenêtre. Ils font des choses anodins, humains, que l'on prend pour aquis.

Ce travail est inspiré par la chanson intitulée << Summer Wine >> par Nancy Sinatra. J'ai voulu recréer l'athmosphère de la chanson dans mon oeuvre. Pour moi, cette pièce évoque une odeur ambrée, les années 70, les fruits, les éclairages tamisés et la douceur. J'avais également une palette de couleur particulière en tête que j'ai utilisée dans mon travail.

À la suite d'un cours d'histoire de l'art ayant pour sujet l'abstraction, j'ai été grandement inspirée. Le travail de Kandinsky, de Malévich, de Mondrian ainsi que de Hilma Klint m'ont ouvert une nouvelle porte et je me suis dit: «pourquoi ne pas ajouter une nouvelle corde à mon arc»? J'ai donc fait une exploration de compositions abstraites sur ma tablette graphique, et je n'ai gardée que les meilleures. Chaque oeuvre peut être présentée à part entière; Ce sont des peintures individuelles qui portent chacunes un titre. J'ai d'écidée de les présenter dans un ensemble afin de témoigner de la recherche sur l'abstraction que j'ai faites.

Pour mon dernier projet de la session d’automne 2023, je me suis lancée le défi de faire la plus grande peinture. Au courant de cette session, j’ai appris diverses techniques comme l’empattement, la peinture en aérosol et le lavis. Bien évidemment, pour cette dernière peinture de l’année, j’ai voulu conclure mon portfolio avec une peinture d’aurore boréale fait à partir de lavis. Cette technique nécessite d’appliquer beaucoup d’eau sur la peinture à l’acrylique pour diluer la couleur. Ainsi, en superposant mes différentes couches de couleur, comme le bleu, le mauve et le vert, je suis venu créer une aurore boréale. Bref, la superposition des couleurs qui s’agencent à merveille fait en sorte que l’image semble bouger.

Cette œuvre représente des personnages déformés, parsemée de couleur et de motif placer aléatoire. Les contrastes de couleurs et des textures visuelles sont un son nécessaire.

Le regard illuminé des gens qui m'entourent dans un monde qui peut sembler gris et maussade.

Cette œuvre est inspirée des couleurs et motifs de l'art artisanal du Maroc. De plus, elle est parsemée de textures visuelles et physiques. L'œuvre a une touche de nature et des styles de partout dans le monde. Cette peinture est abstraite, je ne voulais rien représenter ; le but était de remarquer les textures que j'ai exploitées.

Cette oeuvre est ma première vrai peinture acrylique fait avec des glaçis. Je me suis inspiré de l'auteur et dessinateur de manga Isui Ishida (auteur de Tokyo Ghoul) et de ces peintures digitales, pour designer un personnage et le peinturer par la suite.

Cette oeuvre représente le cycle de la vie. L'escargot portant la fleur est la vie; Celui avec le crâne, la mort. La thématique étant le quotidien, j'ai décidé d'utiliser l'escargot, être fragile et banale, pour critiquer la vision que les gens ont du cycle de la vie. En effet, la vie et la mort nous côtoient à chaque jour, et certains les prennent pour acquis. Comme il s'agit d'un cycle, le dernier dessin représente la mort qui revit, et la vie qui s'éteint.

Dans le cadre du cours de dessin de création, je devais réaliser un dessin sans crayon. J'ai donc choisi d'utiliser du tissu, du fil de fer, du maquillage et de la peinture diluée pour effectuer mon oeuvre dans laquelle on voit une femme qui se fait tendre un téléphone. C'est une situation normale que j'ai cherché à décrire d'une manière qui sort de ce que je fais à l'habitude.

Mon travail est inspiré par le mouvement surréaliste. J'ai voulu créer un univers absurde qui s'apparente à un rêve. J'ai donc pris des photographies de mon amie pour ensuite les modifier en baissant l'exposition, en dupliquant et en déformant certains éléments.

La psychose et l’abus de substance est au cœur de ce projet numérique. Je voulais illustrer, sous forme de photo, la distorsion de la réalité d’un individu en crise. Plus les images progressent, plus il est difficile de discerner la présence d’une personne. J’ai utilisé une palette en noir et blanc pour éviter de se concentrer sur la distorsion de la couleur au détriment de celle du sujet.